“Comment le clan Diack a été encerclé“, c’est ainsi que Libération, dans sa parution de ce lundi, revient sur le scandale de dopage des athlètes russes dont Lamine Diack et son fils, Massata, sont cités.
D’après le journal, tout avait commencé en août 2015, date à laquelle procureurs, juges et policiers s’étaient, tous, rués vers le pôle financier du palais de justice de Paris. Ce qui fait dire aux confrères : “de Moscou à Rio en passant par Paris, Monaco et Tokyo, les révélations sur le périple des enquêteurs français“.
Dans un premier temps, Libération renseigne qu’après avoir “décortiqué le système occulte“, les juges ont mis en examen Lamine Diack, Habib Cissé, son conseiller juridique, ainsi que le désormais ex-responsable du service antidopage de la fédération internationale d’athlétisme (IAAF), Gabriel Dollé.
Lamine Diack était le Président de la Fédération internationale d’athlétisme, Papa Massata, responsable du marketing à ladite institution fédérale.
Diack fils-lui, dès que cette “traque” avait été lancée, a préféré rester chez lui, ici, à Dakar.
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