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Antonio, garde du corps de Cheikh Amar, longuement, cuisiné par la Dic : son arme à feu sur toutes les lèvres

Décidément, la Division des investigations criminelles (Dic) refuse de lâcher les basques à l’entourage de l’homme d’affaires et patron de TSE.

Pour cause, après avoir, longuement, cuisiné, lundi deux proches de Cheikh Amar, suite à la plainte déposée contre ces derniers et Modou Amar, frangin du milliardaire qui a pris la fuite, dans l’affaire des menaces de mort contre Serigne Diagne, l’Administrateur de Dakaractu.com, les enquêteurs ont auditionné, durant plusieurs heures, un certain Antonio, a appris Actusen.com de sources généralement bien informées.

Pour le moment, même si votre Site ignore les raisons de son interpellation, il n’en demeure pas moins que l’homme est un garde du corps du patron de TSE.

Seulement, c’est un mystère total autour de son identité. En effet, tantôt Antonio, qui porte une arme à feu, est crédité d’être un ressortissant français ou portugais, tantôt dépeint comme un ressortissant arabe, tantôt présenté comme quelqu’un qui a été recruté à Dakar, confient toujours les sources de Actusen.com.

D’après certaines confidences, les éléments-enquêteurs chercheraient à comprendre si Antonio dispose ou non d’une autorisation de nature à lui permettre de porter une arme à feu.

Et, tout laisse croire que s’il est d’origine étrangère et ne dispose pas de permis de port d’arme, Antonio a toutes les chances de se retrouver dans des ennuis qui pourraient même déboucher sur son expulsion du territoire sénégalais.

Lors de l’altercation entre l’insulteur public, Assane Diouf, et l’artiste-musicien, Papa Diouf, au milieu des champs de Khelcom, il y a de cela quelques jours, ce garde du corps de Cheikh Amar a été aperçu encagoulé et muni d’une arme.

Alors, est-ce qu’il y a une relation de cause à effet entre les évènements de Khelcom et l’audition du Sieur Antonio ? Difficile, pour Actusen.com, de répondre, avec exactitude, à une telle question.

Aux dernières nouvelles, Antonio a été libéré, tard dans la soirée. Sera-t-il re-convoqué pour un autre interrogatoire? On préfère, pour l’instant, donner notre langue au chat.

Richard SAMBOU (Actusen.com)

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