Contribution

«Ibrahima WADE, le BOS de la discrétion»

Né dans la capitale du rail, où il a effectué ses études primaires  et secondaire, à  l’école privée  Daniel Brothier d’abord, au lycée Malick SY ensuite parcours ou il faut le dire n’a pas été une promenade de santé. Ces difficultés et vicissitudes de la vie, lui servant  d’aiguillon, il a su se surpasser et dépasser toutes les contraintes pour tendre vers l’excellence et aller au sommet.

C’est à cet effet que le Bac A3 dans ses valises, il s’inscrit à la faculté de droit ou il obtient ses diplômes en droit. Il poursuit ensuite ses études un peu partout dans le monde ; comme en France et aux Etats Unis.

Ce parcours lui a valu aussi de se doter de toutes les compétences et qualités à la hauteur d’un homme de valeurs et de talent. Tout simplement d’un homme d’Etat, que l’on ne peut manquer d’avoir à ses cotes ou dans son équipe.

C’est pourquoi même si les hommes changent au gré des régimes et des alternances politiques les gouvernants très prompts à changer l’équipe de leurs prédécesseurs ; il est de ces hommes qui de par leur prohibité semblent être indéboulonnable.

Le choix de cet homme a la tête du BOS, semble ainsi être l’objectif basé sur ces compétences et le mérite qui affectif ou découlant de manœuvre malsaines.

Ancien secrétaire permanent à la Stratégie de Croissance Accélérée, M. Ibrahima WADE est aussi connu par son humilité et sa disponibilité mais surtout sa maitrise des questions de développement : ce qui lui a valu d’être au cœur des plus grands projets.

Ancien inspecteur général du trésor, cet avocat émérite développe sa passion du sport ce qui fait de  lui le vice-président du CNOSS et président de la fédération d’équestre.

Récemment nommé membre permanent du comité d’orientation stratégique de la francophonie, M. Ibrahima WADE étale ainsi toutes les qualités d’un grand monsieur, qui doit être érigé en modèle et en référence pour la jeunesse et ainsi porter la voix d’un Sénégal   émergent.

Dans ce contexte ou le culte de la médiocrité promeut l’ascension d’hommes intellectuellement limites et moralement inaptes il est temps pour les masses opèrent a une rupture c’est-à-dire porter de tels hommes comme mirage afin de faciliter le redressement de nos sociétés mais donner un exemple aux jeunes générations qui de fur et en mesure perdent ses repères.

                                                                                                                              Kalidou DIALLO

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