Le leader de «Leeral Askanwi» ne décolère pas ! Omar Faye s’électrifie d’autant plus de nervosité que, dit-il, l’ancien Directeur général du Port autonome de Dakar est payé en monnaie de singe, après tous les efforts consentis, pour hisser encore très haut l’étendard de la boîte.
Dans un communiqué parvenu à la Rédaction de Actusen.com, le chef de file de «Leeral Askanwi» ne comprend pas, alors, du tout que certains opposants dirigent une campagne de diabolisation contre Cheikh Kanté.
Qui, fait-il noter, a imprimé des marques indélébiles contre l’oubli. D’abord, en créant des centaines d’emplois au Port autonome de Dakar. D’ailleurs, sur ce registre de lutte contre le chômage, ce que Cheikh Kanté a réussi, quand il était aux commandes, aucun autre Directeur général n’a eu à le faire à la tête de l’Institution.
Ensuite, ajoute Omar Faye, l’actuel ministre en charge du Plan Sénégal Emergent (PSE) a procédé à des investissements que beaucoup ne croyaient guère faisables, dans des délais-records.
Et ce, sans que l’Etat ne lui donne aucun milliard F Cfa. Contrairement à ce qui se fait dans des Ports de certains pays africains, où l’Etat saigne à coup de milliards F Cfa, pour faire fonctionner les activités portuaires.
Pour Omar Faye, ce n’est pas pour rien que le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Ba, ainsi que le Conseil d’Administration ont décerné un satisfecit total au désormais ancien Directeur général du Port.
Et, compte tenu de tout cela, le patron de «Leeral Askanwi» dit ne pas comprendre que “des gens de l’opposition, qui, dans un passé encore récent, ciraient les chaussures à Cheikh Kanté, se mettent, aussitôt, aujourd’hui, à vouloir diaboliser celui-ci.
Ce qui n’est pas mon cas, car je n’ai jamais serré la main à Cheikh Kanté. Tout comme, je ne lui ai jamais parlé, fut-il par téléphone. Je trouve lâches les procès d’intention contre lui.
Pour construire ce pays, il faudrait qu’on arrête de jeter en pâture des compatriotes, alors que des Corps de contrôle n’ont pas épinglés pour des fautes lourdes. On peut s’opposer à quelqu’un, mais il faut utiliser des armes conventionnelles. Et non exceller dans la délation», suggère-t-il.
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