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PEINE DE MORT OU CASTRATION DES VIOLEURS-ASSASSINS

Les meurtres ne faiblissent pas. Pis, ils sont souvent précédés de viols, quand ils sont perpétrés contre des filles. A Thiès, c’est une fille de 18 ans qui a été violée puis tuée par son petit copain.

Pendant que la Capitale du Rail vide les larmes de son corps, c’est Tambacounda qui prend la relève. Cette fois-ci, c’est Bineta Camara, 24 ans, qui est assassinée dans sa propre maison.

A Ouakam, une femme retrouvée nue et en état de décomposition, a été retrouvée sur la terrasse d’un marché. Mais il n’y a pas à aller jusqu’au ciel, pour trouver le remède à ça.
Il suffit, juste, de singer l’Inde. En recourant à la peine de mort contre les criminels. A défaut, à leur capture, il faudra castrer les coupables. Certains pays en raffolent.

Et, d’ailleurs, alors qu’on y est, on pourrait ajouter ces deux propositions aux termes de références du dialogue tantôt politique, tantôt national ? C’aurait été chouette, n’est-ce pas ?

Mame SAGAR (Billet-SourceA)

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