C’est bien, la direction qu’a prise le vent, depuis quelques jours. D’abord, ce sont les candidats malheureux à la Présidentielle du 24 février passé qui ont ravalé leur colère, après la claque-surprise que leur a administrée ‘’Thiompal’’.
Ensuite, c’est ‘’Salatul Ala Fatiha’’, connu pour ses positions à la va-t-en-guerre, qui se réveille, un matin, pour tendre la main à ses adversaires politiques. Y compris, dont il n’a prononcé le nom que cinq fois, entre 2012 et 2019.
Enfin, en parcourant l’entretien exclusif que César Atoute Badiate a accordé à SourceA, le chef-rebelle affiche un état d’esprit ô combien salutaire. L’indépendance, il ne veut pas en entendre parler. Et, ça, depuis 2003.
Alors, conjugons ‘’no stress’’. Et, il est temps que certains Partis de gauche, qui, depuis des décennies, n’existent, sur l’échiquier politique, que de nom, qui doivent la boucler. Et arrêter de souffler sur les braises pour tenter de faire capoter le dialogue en vue.
Mais bon, on les comprend : ne pouvant pas remplir une Cabine téléphonique avec des militants, ils rêvent de voir ‘’Waccacca’’ en perpétuel conflit avec tout le monde. Surtout que ces Partis, qui gueulent plus qu’ils ne sachent tenir un meeting, craignent qu’en cas de retrouvailles entre adversaires d’aujourd’hui, ‘’Buur’’ ne les range au frigo.
Mame SAGAR (Billet-SourceA)