Les chefs d’Etat, notamment africains, adorent laisser leurs fils, beaux-frères ou frangins traîner aux abords des affaires publiques. SourceA qui a fait le constat rapporte un fait si saisissant, qui mérite d’être soulevé : c’est la fin souvent ô combien ‘’tragique’’ de ces collabos d’un genre particulier.
Partant du scandale présumé de la gouvernance des ressources pétrolières du Sénégal ‘’Source A’’ plonge ses lecteurs dans la situation cauchemardesque qu’ont vécue les mille et un frangins, beaux-frères, fils…d’anciens chefs d’Etat, à chaque fois que les régimes de leurs parents sont tombés.
Parmi eux, Karim Wade. Le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade a fait l’apprentissage de la déception avec le régime du successeur de son pater, Macky Sall. Il y a aussi Saïd Bouteflika en Algérie. Ce dernier a été arrêté, en compagnie des généraux Mohamed Mediène, dit Toufik, et Athmane Tartag, dit Bachir. C’était le samedi 4 Mai. Il fut l’un des piliers de la Présidence de son frérot, Abdelaziz Bouteflika.
Autre ancienne grande figure ayant connu une fin compliquée : Saïf Al-Islam Kadhafi, capturé en 2011, dans le sud de la Libye. Il était le dernier fils encore en cavale de l’ancien dirigeant Mouammar Kadhafi, tué le 20 octobre 2011. La liste est loin d’être exhaustive.
Actusen.sn