Libération, dans sa parution de ce jeudi, est revenu sur l’affaire de la Banque de Dakar (Bdk). En effet, selon le journal, cette entité est ‘une nébuleuse, bâtie au Luxembourg ».
La preuve, croit-il savoir, Alberto Cortina n’est que « la face visible de l’actionnariat » puisqu’une kyrielle de sociétés gravitent autour de ladite banque, qui est contrôlée par Bdk Financial Group ». Une sorte de fonds créés dans le paradis fiscal du Luxembourg
Par ailleurs, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, révèlent nos confrères, depuis sa création, « les statuts ont été au moins modifiés à dix reprises, avec des actionnaires occultes, qui entrent et sortent du capital comme dans un jeu ». Ce qui fait que cette entité ressemble, à bien des égards, à une «pieuvre», ont-ils ajouté.
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