L’Etat du Sénégal a 30 jours pour répliquer aux écritures des avocats de l’insulteur public N°1, Assane Diouf. Ce, avant que la Cour de justice de la Cedeao ne se prononce. C’est ce qu’à décidé la juridiction sous-régionale, qui, selon Les Echos, avait auparavant, convoqué les parties pour le 12 décembre prochain.
Actusen.sn