Ce jour, le séparateur du bien et du mal se rebella, la foi cède à l’alchimie de la bergère
Ce jour l’homme aux deux lumières devenait hypnotique,le gendre l’abandonne
Ce jour le père des deux jumeaux du cousin béni à l’éloquence enviée; resta aphone
Ce jour le véridique ; l’intimeconfina sa douleur sur la sainte face, la foi en bandoulière
Al Maktoum, le khalife à la bienséance enviée Béni soit le fils d’Al Bakr,
Tu ne brisas le silence que le jour de naissance du noble vertueux Maitre
Avec une mise désenchantée, tu méprise les clichés des chefs bernés
Mame Cheikh, l’école des moustarchides a atteint les chaires enviées
Les contemporains éprouvent à jamais du dégout à la vie sacrifiée
Sérigne cheikh, tu asabandonné une bergerie proche de l’infamie
A jamais, tu t’emmures dans un silence étourdissant, notre foi rebelote
Tel un nourrissonsevré à l’éteint fluté, notre profonde voix sanglote
Jeudi 16 Mars 2017
Assane NIANG
Shabba de Seydina LimamouLahi -PSL