Les femmes en état de grossesse, privées de liberté, vivent un véritable calvaire. Si la grossesse est une étape heureuse pour les femmes, elle ne l’est pas pour celles privées de liberté.
L’Observateur, qui a consacré sa Une à ce fait, relate que ces femmes vivent dans l’angoisse de porter un petit-être dans un lieu qui ne rime pas avec le confort.
Alors que toutes les lumières sont éteintes dans les chambres, dès la nuit, les détenues enceintes craignent la pénombre. Le manteau de la nuit aussi est un moment particulièrement redouté pour une détenue en état de grossesse. Leurs enfants ne reconnaissent pas leur mère après des années de prison.
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