« La vérité sur le divorce entre le ministre du Budget Birima Mangara et sa deuxième femme Ndèye Maty Fall… Cocu, le ministre « himself » a fini par demander le divorce parce que son ex épouse le trompait avec …un gigolo »
Mes Conseils et Huissiers ont entamé les procédures nécessaires et serviront des citations directes à Mamadou Ndiaye et à tous les médias impliqués dans la diffusion de ces assertions méchantes, gratuites, imaginaires et diffamatoires.
Je voudrais remercier tous ceux qui, de près ou de loin, m’ont témoigné de leur soutien et affection dans cette épreuve et regretter qu’au-delà de ma personne, ma famille si digne, si sobre soit pour la première fois, portée sur les feux d’une actualité peu honorable.
Au moment où je rentre de pèlerinage aux Lieux Saints de l’Islam, entièrement prise en charge par celui qui, à ce jour, demeure mon époux, je pouvais m’attendre à autre chose. Une épouse soupçonnée de relations extra-conjugales, ne saurait bénéficier de faveurs telles que celles que j’ai évoquées par ailleurs, de la part de son mari. Qui plus est, tout au long de la démarche de foi que je viens d’effectuer, Birima n’a cessé, par de multiples appels et messages, de me manifester attention et affection comme d’ailleurs il l’a toujours fait.
A Médine, à la Mecque, à Mina, à Arafat, j’ai beaucoup prié, comme par prémonition. … Je continue à implorer Allah, Le Tout Puissant, pour qu’Il lui accorde la sérénité, la lucidité et la clairvoyance nécessaires, loin des sentiers de Satan, tant dans son rôle d’époux et père de famille, que dans ses fonctions républicaines.
Les propos relayés par Mamadou Ndiaye sont, pour le moins, diffamatoires et attentatoires à ma personne et à mon honorabilité. Ce sont des balivernes intolérables et inadmissibles pour un journaliste respectueux de l’éthique et de la déontologie. Au-delà de la révolte, je m’en remets à Allah SWT pour nous départager. Pour le reste, je fais confiance à la justice de mon pays, pour sauvegarder mes intérêts et laver mon honneur sali par des motivations bassement obscures.
Devant le Juge auprès qui il m’a attrait le Jeudi 6 Octobre 2016, mon époux n’a évoqué « que » l’incompatibilité d’humeur, pour seul motif à sa demande de divorce. En somme, tout le contraire des accusations d’adultère proférées sans retenue le jour de mon « Ganalé » devant témoins.
A l’endroit de mes parents, de ma famille, de mes amis et collègues, je jure devant Dieu qui est seul juge, que JAMAIS, je n’ai été infidèle à mon mari.
Rien dans mon éducation, mes ancrages sociaux et religieux, mes valeurs, ne m’autorise à emprunter des voies déviantes du chemin de l’Honneur, de la Dignité, de la veru et de la Morale.
Au-delà de la justice des hommes, je m’en remets à celle Imminente du Tout- Puissant et Omniscient, pour qu’Il me départage ici-bas et dans l’au-delà avec tous ceux qui visent à ternir ma réputation, mon image, affectant celles de ma famille et de mes amis.
Convaincue que la Vérité divine finit par triompher et que, quelle que soit la longueur de la nuit, il fera jour, je m’en remets à Allah S W T.