On ne le dira jamais assez. La Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) est-elle morte de sa belle mort ? Question légitime. En effet, le journal Les Echos titre à la Une, «14 mois sans un dossier sur la table, les juges de la Crie tournent les pouces» faute d’avoir des dossiers soumis à leur jugement.
Si on en croit nos confrères, depuis le 9 décembre 2015 après l’affaire Tahibou Ndiaye, la Crei semble tomber dans une léthargie totale. Et ses juges sont quasiment en vacances.
Toutefois, croit savoir Les Echos, avec le principe de cumul de fonctions, tous les juges de la Crei peuvent retourner à leur bureau pour continuer à travailler avant qu’un dossier consistant ne leur soit soumis.
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