Interpellé sur la sortie de l’association des juristes sénégalaises (Ajs), qui n’est pas très convaincue par les réformes annoncées, allant dans le sens de criminaliser le viol, le ministre de la Justice, Garde des Sceaux est resté très évasif. Toutefois, Me Malick Sall invoque la liberté d’appréciation de chaque personne.
«Chacun à son appréciation, mais il se trouve qu’au jour où je vous parle, le Président de la République est celui qui définit la politique de la Nation. C’est lui qui définit aussi la politique pénale. Et moi, en tant que Garde des Sceaux, il m’appartient de mettre en œuvre ces politiques», a-t-il expliqué.
Saly Sagne (Stagiaire-Actusen.sn)