« C‘est du toc », a dit Malick Gackou. En, effet, le leader du Grand Parti assimile les menaces de Frank Timis à une brise de mer. Répliquant à l’homme d’affaires au cœur du présumé scandale de pétrole au Sénégal, l’ancien ministre des Sports adopte un discours martial qu’on ne lui avait pas connu jusque-là.
« Les menaces de Timis, c’est de la poussière », a-t-il coupé court, dans les colonnes du journal Le Quotidien.
Selon nos confrères, le Président du Gp a tenu ce discours, lors de son passage dans la capitale du rail, où il assistait à l’inauguration du Siège de son parti.
« Si les menaces du Gouvernement ne sous ébranlent pas, ce ne sont pas celles de Timis qui vont le faire », aurait-il dit, non sans affirmer la volonté de « Manko Wattu Senegaal » à poursuivre le combat. Car, « rien ni personne ne pourra nous empêcher de défendre ce patrimoine », martèle-t-il.
Actusen.com