Entre le boss de l’hôtel Terrou-Bi et (ses) travailleurs, le courant ne passe plus. A l’origine, leur prime de restauration (comme dans toutes les structures hôtelières) est passée de 20 475 Fcfa à zéro franc.
Devant cette situation inattendue, et sans explications valables, les travailleurs sont déboussolés. Et comme si cela ne suffisait pas pour torturer des travailleurs qui donnent le meilleur d’eux-mêmes, de jour comme de nuit, Rahal enfonce, à nouveau, le clou.
Selon Libération de ce mardi, au lieu de 40 heures de travail par semaine, c’est avec stupéfaction qu’ils constatent, les yeux hagards et sans aucun avantage, que, désormais, ils devront mouiller le maillot 48 heures/semaine.
Frustrés, certains, qui ont manifesté leur colère, se voient, aujourd’hui, menacés par le patron avec des mises à pied et des avertissements à la pelle.
Mais la question qu’on se pose à Actusen.com, est comment font les clients avec ce climat délétère ?
Actusen.com
2 comments
c’est la triste réalité
Je ne comprends pas comment ils peuvent couper des salaires aussi bas.
Ces gens sont des criminels