Depuis Los Angeles, où il vient de s’engager en faveur du Galaxy, Zlatan Ibrahimovic a évoqué son éventuel retour en équipe de Suède pour la Coupe du monde 2018.
En traversant l’Atlantique, Zlatan Ibrahimovic a seulement changé d’équipe. Pas d’attitude. Vendredi, lors de sa présentation officielle à la presse en tant que recrue du Los Angeles Galaxy, le nouveau n°9 de la franchise californienne n’a pas manqué de tacler la sélection suédoise, qu’il a quittée après l’Euro 2016 et qu’il pourrait retrouver pour la Coupe du monde 2018 en Russie (du 14 juin au 15 juillet).
Un retour qui, à l’écouter, dépend de lui et seulement de lui. Le sélectionneur, Janne Andersson, sera sans doute ravi de l’appendre… « Comme je l’ai déjà dit, personne n’a besoin d’appeler personne. Si je veux y aller, j’y vais. C’est comme ça, quoi qu’ils en disent », a ainsi lâché « Ibra », toujours aussi incisif malgré ses 36 ans et alors qu’il n’a participé qu’à 7 matches cette saison avec Manchester United.
« Laissons-les ronger leur frein, a-t-il ajouté, avec un sourire carnassier. Ils se demandent si je dois y être ou pas, parce qu’ils disent avoir une bonne équipe. Mais jusqu’ici, ils n’ont rien gagné alors que moi, je sais comment gagner. » Pas sûr que ce genre de déclaration soit le meilleur moyen pour le meilleur buteur de l’histoire de la Suède de réintégrer un groupe qui, sans lui, a su se qualifier.
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