Jammeh parti, son successeur Barrow arrive. Et le nouvel homme fort de Banjul a tenu à marquer les esprits à sa façon. Pour ça, il se plaint, déjà, du fait que, dit-il, l’enfant de Kanilaï ne lui a laissé que des Caisses vides.
Bref, Barrow s’est fendu du même alibi que « Buur Fatick », dès son accession à la Magistrature suprême. Et inutile de chercher à lui en vouloir.
Car le boucher de Yaya pourrait invoquer l’alibi comme quoi « ma proximité avec Niangal m’a permis de savoir que c’est une Sall trouvaille pour qu’on me colle la paix durant les premières années de mon règne ».
Surtout que je ne suis pas certain que le train à bord duquel j’ai embarqué cheminera plus qu’il ne saura bouger.
Boy Mélakh