C’est une lapalissade de dire que le reniement de sa parole donnée tranche d’avec les principes basiques de la morale.
Et qu’à ce titre, rien ni personne ne peut justifier la décision d’Aliou Sall de revenir sur sa renonciation à diriger la liste départementale de l’Alliance pour la République, en direction des prochaines Législatives.
Pis, derrière la volte-face du maire de Guédiawaye, se cache une défiance de son frangin. Qui, s’il ne relève pas le défi à lui lancé, risque de voir son autorité déambuler dans la rue.
Car l’Apr étant une Armée mexicaine, sûr que si le petit prend le dessus sur le grand-frère, nombreux sont les responsables du Parti présidentiel qui le singeront.
Et, malheureusement, si le grand tente de lui tirer les oreilles, le petit-frère pourrait le mettre Ko, en le replongeant dans un certain 16 février 2016.
Date à laquelle, Sa Majesté avait fait son « wax waxeet » sur sa promesse de réduire son mandat de 7 à 5 ans.
Boy Mélakh