…appartient à Bara Ndiaye
Restons avec les deux co-débatteurs de DTV pour vous dire que quand Ibrahima Lissa Faye a balancé cette bombe, Bara Ndiaye a, pour se redonner vie, menacé le boss de Pressafrik.com d’une Citation. Et, là, Ibrahima Lissa Faye a laissé entendre : «Bingo !». Refusant de lâcher les basques à l’édile de Méwane, le responsable de la CAP est revenu, violemment, à la charge. En faisant quoi ? En balançant, «xana», à la figure de Bara Ndiaye que son nouveau Directeur des Ressources Humaines était, dans un passé encore récent, son propre fournisseur. «Ya-ya-ya-ya-ya !». Et avant même que Bara Ndiaye ne trouve les mots justes pour placer un mot, Ibrahima Lissa Faye est remonté sur le ring, pour le catapulter dans les cordes. Pour ce faire, il dit à Bara Ndiaye que son actuel DRH, ancien fournisseur, a, d’ailleurs, gagné un marché de 15 millions F Cfa à la Maison de la presse.
…selon Ibrahima Lissa Faye…
Refusant de s’en arrêter là, Ibrahima Lissa Faye, qui semble s’être documenté, comme pas possible, du côté de la Maison de la presse, d’embrayer. L’un des véhicules de la Maison de la presse que la Présidence a affectés à celle-ci, a, récemment, fait un accident, le chauffeur s’en est tiré avec une fracture et il convoyait des journaux, a laissé entendre Ibrahima Lissa Faye. Qui a, aussi, éclairé les pans d’ombres qui entourent le recrutement de gens venus de Méwane, et qui jouissent de traitements salariaux de rêve. Sans compter le fils de Macky Gassama, bombardé, récemment, à un poste de responsabilité de choix.
…qui balance cette autre bombe
Et vous savez quoi ? Quand il a été demandé à Bara Ndiaye s’il était disposé à un débat avec le Directeur de Publication de SourceA, Bara Ndiaye a estimé qu’il ne va jamais débattre avec Daouda Thiam, son aîné au CESTI. Et, dont le seul tort aura été d’avoir informé juste et vrai, sans le moindre brin d’acharnement. D’ailleurs, depuis la naissance de SourceA, la seule fois que votre journal ait parlé de la Maison de la presse, remonte à trois jours. Et ça concernait le budget 2018 et le Compte administratif 2017, avec à la clé, des dépenses et des prévisions inimaginables. A cet effet, aucune accusation n’a été formulée contre Bara Ndiaye, qui, lui-même, en conférence de presse, a reconnu, je le cite, «il n’y a, absolument, rien de faux dans ce que SourceA a écrit». L’élément-audio est disponible.
Actusen.com, par contre, a eu à révéler des trucs surréalistes, il y a quelques années, comme lorsque Bara Ndiaye s’est tapé 35 millions de F Cfa, en guise d’arriérés de salaires et filé des miettes à ses Agents. Maintenant, si parler de ces cas avérés, consiste à de l’acharnement, franchement, on n’y comprend plus rien.
Actusen.com