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Le mouvement jeunesse « Jog job » veut entreprendre pour développer le Sénégal

Avec  comme thème  «entreprenariat et financement de projet au Sénégal. Quelles sont les approches et opportunités pour les TPE et PME », le Mouvement national de sensibilisation et l’accompagnement à l’emploi par l’entreprenariat et l’auto- entreprenariat  « JOG JOB » a tenu une conférence ce samedi 27 avril 2019 à la maison de la presse.

L’occasion de réunir  les bailleurs, les entrepreneurs et les structures de financement pour réfléchir  ensembles  aux opportunités qui permettront aux jeunes de mettre en place leurs propres entreprises.  En effet, l’emploi des jeunes n’est pas  seulement un  défi du  président Macky Sall, il est l’ est aussi pour cheikh Mbacké Sène, initiateur du mouvement JOG-JOB » qui porte plus pour l’employabilité plus que l’emplois des jeune.

Selon lui, l’entreprenariat est la  seule porte de sortie de la pauvreté pour le Sénégal. C’est la raison pour laquelle le Consultant en Communication a mis en place un mouvement qui regroupe des jeunes, les forme et les encadre afin qu’ils puissent eux même mettre en place  leur entreprises et créer des emplois ce qui est majeur pour le  développement du Sénégal selon Mbacké Sall.  Il convient de signaler que les femmes ne seront pas en reste car les critères de sélections seront de 50 / 50 si l’on croit aux dires de l’initiateur.

Ainsi Mbacké Sène, dans son optique le relier les entrepreneurs  en partant de ses propres moyens prévois de  mettre en place  une plateforme qui permettrait aux jeunes d’être outiller.

«En tant qu’entrepreneurs je connais les difficultés auxquelles on est confronté. L’idée c’est de se mettre en réseau pour que les erreurs des uns puissent inspirer les autres. Pour qu’on puisse ensemble mettre en place des programme de des formations tant dans la phase de procréation que dans la phase de poste création ainsi que l’accès au marché  etc», dit – il.

Interpelé sur le problème de l’accessibilité du financement Mbacké Sène répond. «Je refuse l’idée selon laquelle il y a pas de financement. Bien au contraire,  il y a plusieurs  fonds de financements et d’accompagnement  qui existent et j’en  ai côtoyé certains».

Kiné Thiane (stagiaire-Actusn.sn)

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