Ça râle de partout. La Sénégalaise des eaux, qui a perdu son fromage au profit de Suez, a fini d’armer ses travailleurs, pour faire de la vie des consommateurs, ‘’jahanama’’. Les 15% de l’actionnariat de la future Société française sont passés par là.
Egalement, dans ce charmant ‘’Sunu Gaal’’, les chevaliers de la craie passent une partie de l’année scolaire dans les Salles de classes et l’autre partie dans les rues.
Si ce n’est pas une dette que l’Etat leur doit, les Professeurs d’Eps sortants du Cneps sont en grève de la faim, pour exiger le recrutement dans la Fonction publique
Pour réclamer six (06) mois de primes de motivation et cinq (05) mois d’arriérés d’indemnités, les blouses blanches ont observé un arrêt de travail, à l’hôpital régional de Saint-Louis. Et vous savez quoi ?
Seul le contribuable Sénégalais est le grand perdant de ces nombreux conflits. Lui à qui on troue, quotidiennement, le portefeuille, pour payer les salaires de tout ce beau monde. Alors que son existence n’aura jamais été un long fleuve tranquille.
Mame SAGAR (Billet-SourceA)