L’échauffement des joueurs anglais, avant leur match face à la Tunisie (2-1), lundi, a été perturbé par des nuées de moustiques.
Les pesticides massivement utilisés autour du stade de Volgograd n’ont pas suffi. Comme craint depuis plusieurs jours, la rencontre de Coupe du monde entre l’Angleterre et la Tunisie, la première disputée à la Volgograd Arena, a bel et bien été perturbée par les moustiques et autres moucherons.
A en croire le Mirror, si les joueurs ont pu en faire abstraction durant le match en lui-même, l’échauffement des joueurs anglais, finalement vainqueurs 2-1, a donné lieu à quelques séquences inhabituelles, le sélectionneur Gareth Southgate en étant quitte pour se balayer le visage et certains joueurs, dont Raheem Sterling, Jessie Lingard et Ashley Young pour tourner les bras et donner l’impression de se battre contre des ennemis invisibles. Avant de se résoudre à s’asperger une nouvelle fois de répulsif.
Et les joueurs anglais n’ont pas été les seuls impactés. Plusieurs chaînes ont ainsi renoncé à leurs plateaux en bord de pelouse, d’autres journalistes refusant d’intervenir aux abords du stade.
Les autorités se sont pourtant employées depuis plusieurs jours pour éradiquer le problème dû à la proximité de la Volga et de ses marais. Des hélicoptères ont ainsi été réquisitionnés pour répandre des pesticides. En vain donc. Car si chaque été, des hordes de moustiques et moucherons envahissent Volgograd, ces insectes semblent bien plus nombreux cette année.