C’est une lapalissade que de le dire. La lutte avec frappe au Sénégal profite plus aux promoteurs qu’aux acteurs.
Accroché par le journal Les Echos, Mouhamed Ndongo, enseignant-chercheur à l’Institut national supérieur de l’Education populaire et du Sport (Inseps) est d’avis qu’il n’y a pas à chercher de midi à quatorze heures : la lutte génère plus de revenus chez les promoteurs que, malheureusement, chez les acteurs, à savoir : les lutteurs, eux-mêmes.
«Ce sont les promoteurs qui s’enrichissent plus que les acteurs. On interpelle l’Etat à corriger cela, afin de normaliser la pratique», a alerté Mouhamd Ndongo, lors du panel sur le thème : «le Sport au service du développement et de la paix», organisé par le Comité national olympique et sportif sénégalais (Cnoss), en collaboration avec « l’Initiative des Nations-Unies ».
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