Deux poids deux mesures ! C’est ce qui résume en effet, ce qui est arrivé à Nafi Ngom Keita et Saer Niang sur la durée et la fin de leur mandat.
D’après Le Quotidien, si la première nommée, présidente de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) d’alors, avait brandi l’argument, selon lequel son mandat prenait effet à partir de la date de prestation de serment sans être entendue (elle a été limogée par la suite), la même situation se pose, actuellement, avec le Directeur l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp).
Son mandat arrivant à terme depuis début janvier 2017, Saer Niang puisque c’est lui dont il s’agit, a su trouver les astuces «nécessaires» pour proroger son mandat à la tête de cette institution et se taper des indemnités de départ équivalant à deux ans de contrat supplémentaires.
En un mot comme en mille, Le Quotidien croit savoir que ce qu’on a refusé à Nafi Ngom Keita, est en train d’être accepté à Saer Niang.
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