«Le problème fondamental est, d’abord, de régler le problème des entreprises de presse, leur doter de moyens pour qu’ils puissent subvenir aux besoins des journalistes.
Il faut aider la presse à asseoir de bases solides, à avoir de bonnes entreprises de presse. Car, une presse précaire, des journalistes mal payés, c’est toujours une menace pour notre démocratie.
Au Sénégal, nous avons une liberté de la presse, mais, par conséquent, nous devons bâtir des organes de presse puissants.
Dans tous les pays, où il y a une liberté de la presse, il y a, par conséquent, une démocratie. Je porterai, en tant que député, vos revendications. Le Code de la presse va être examiné, lors du prochain Conseil des ministres et adopté, au plus tard, au mois de juin par l’Assemblée nationale.
Propos recueillis par O. THIANE (Stagiaire-Actusen.com)