La meilleure défense, c’est l’attaque. Quelques heures après la petite bombe lâchée par El Confidencial, Florentino Perez a tenu à réagir avant que l’affaire ne prenne peut-être des proportions trop importantes au sein de l’institution Real Madrid.
« Les mots reproduits ont été prononcés dans des conversations enregistrées clandestinement par M. José Antonio Abellán, qui tente de les vendre sans succès depuis de nombreuses années », a jugé le président du Real au sujet du journaliste.
Le patron du club aux 13 C1 trouve surprenant que ces écoutes soient utilisées aujourd’hui. Il se défend par ailleurs en évoquant des phrases « sorties du contexte général ».
Il accuse enfin El Confidencial de vouloir lui nuire en réponse à sa position d’instigateur du projet de Super Ligue. « J’ai remis l’affaire entre les mains de mes avocats qui étudient les actions possibles à entreprendre », conclut Florentino Perez.