Étonnement et consternation ont été au rendez-vous, ce lundi, lors de l’ouverture du procès en appel dans l’affaire des faux médicaments saisis à Touba Belel en 2017. En effet, l’un des prévenus, Amadou Woury Diallo, un Guinéen, a été gracié par le Chef de l’Etat et seul Bara Sylla était présent. Cependant, à la surprise générale, aucun document, attestant la grâce du Guinéen n’a pu être établi.
Face à cette situation, le procureur a été obligé de renvoyer l’affaire au 27 mai prochain, en attendant d’y voir plus clair. Selon Me Babou, Avocat de la partie civile, «l’affaire est encore plus compliquée». Car, ajoute-t-il à la Rfm, aucun document pouvant justifier l’élargissement de prison de Amadou Woury Diallo n’a pu être présenté au tribunal.
Actusen.sn