Rebaptisez-le « dictateur, Yaya Jammeh, Hitler et tout ce que vous voulez, le coach des « Lions » du Sénégal n’en a cure. Car Aliou Cissé, dit, dans les colonnes du journal Les Echos, qu’il est un homme normal.
Estimant encaisser les critiques formulées à son encontre, il se considère comme étant une personne simple, avec ses principes.
“On m’a taxé de dictateur, de Yaya Jammeh, d’Hitler, mais je suis un homme normal. Si ça ne va pas, j’ai tendance à le dire et pas à mettre un masque et sourire (comme si tout allait bien). On m’a taxé de tous ces noms, mais personne ne m’a jamais entendu avec un joueur”, dit-il.
Réagissant à une question à lui posée par un journaliste en conférence de presse, lors de la publication de la liste des 23 joueurs pour la Coupe d’Afrique des Nations, et relative à la défaite du Sénégal face à l’Afrique du Sud, l’entraîneur se veut formel : “quand l’équipe perd, je ne dors pas, je ne mange pas », rétorque-t-il.
Et Aliou Cissé de renchérir : « je peux même dire que ma vie devient misérable. Je n’aime pas perdre, comme tout entraîneur d’ailleurs”, déclare-t-il, dans le journal Les Echos de Cheikh Omar Ndaw.
Actusen.com