Dans l’imagerie populaire, la culture laobé se limite aux ceintures de perles, à la danse, à l’encens. Mais erreur ! car la hache occupe une place de choix chez cette éthnie. En effet, dans son édition de ce mardi, L’Observateur explique qu’un mariage laobé sans la fameuse hache est un mariage à haut risque.
Outil formé d’une lame en acier et d’une manche en bois, la hache est propre au travail de bucheronnage et de sculpture, auquel s’adonnent culturellement les « Laobés ».
Pendant le mariage, ces derniers utilisent leur outil de prédilection pour formuler des prières. Et son absence au mariage peut jouer négativement sur l’avenir du couple.
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