Monsieur le Président,
Au méchant, je vais dire ceci
Pour nous qui connaissons la grande toute humaine de Ousmane Tanor Dieng, nous le savons incapable d’une telle posture face un tel événement d’où qu’il puisse advenir, à plus forte raison qu’il s’agisse d’un gendarme de son escorte.
Je suis gendarme et j’ai servi plusieurs années dans son cabinet. Et j’ose dire qu’il n’existe pas dans l’histoire, une personne qui aime la gendarmerie plus que Ousmane Tanor Dieng.
Cette attention particulière, cette haute estime, et cette grande considération que nul n’a pareil que lui, ont fait qu’il s’est toujours assuré du service des gendarmes, aussi bien pour sa sûreté immédiate, que pour le suivi administratif de son cabinet.
Il a toujours marqué sa préférence, par un souci constant, des intérêts moraux et matériels de ( ses) gendarmes.
La sécurité de son domicile, mangeait le même plat qui lui était servi par sa généreuse épouse, et il veillait à ce que cela soit bien copieux.
Si c’était pour déstabiliser un adversaire, ce procès est vainement mauvais, tellement la grandeur d’âme, la chaleur humaine de la victime, homme d’Etat, a , longtemps prévalu comme homme de l’Etat, et , est bien connu de ceux qui, de bonne foi , s’agitent dans le lanterneau politique.
Bon vent Monsieur le Président, les chiens aboieront, tant que la caravane passera
Adjudant-Major de Gendarmerie (ER) Abdou Faye