L’eau , source de vie, aura été l’un des sujets de l’actualité de ces derniers jours, avec les problèmes de déficit qu’ont connu certaines localités de Dakar comme les Parcelles Assainies, Grand Yoff, Grand Dakar, avec leur lot de désagréments regrettables : pénuries d’eau, corvées. Lieu ne pouvait donc être plus approprié que l’Arrondissement des Parcelles Assainies , pour accueillir en cette journée du dimanche 29 juillet, après Latmingué, Tchikatt Dieyri, , Mekhé,Guéoul, Kébemer l’Ecole du Parti de l’Alliance pour la République l’APR, en charge de la formation des militants de l’Ecole du Parti de l’Alliance Pour la République.
Le choix de cette localité, dont l’histoire se confond avec celle du Parti et celle de son leader, avec des figures emblématiques comme l’ancien maire des Parcelles Assainies et non moins Vice Président de l’Assemblée Nationale, le ministre d’Etat Mbaye Ndiaye, qui paya fort son courage au prix de sa carrière et d’autres, fidèles compagnons de l’ ancien Premier Ministre, Président de l’Assemblée Nationale, opposant d’alors aujourd’hui Président de la République, les responsables, et les militants, Hommes, Femmes, Jeunes et bien d’autres fidèles et loyaux compagnons de toujours, ressortissants des Parcelles Assainies, Grand Yoff, Cambéréne, Patte d’Oie qui s’étaient érigés en bouclier au prix de leur vie. La « Maison des Parcellois », cadre spacieux que le Coordonnateur de la Commune, le ministre monsieur Amadou BA avait gracieusement mise à la disposition du Comité Scientifique de l’Ecole du Parti , et depuis toujours aux populations de la localité pour leurs cérémonies, devait abriter l’activité de cette mémorable journée. Le thème du jour : « PROGRAMME YOONOU YOKOUTE ET PLAN SENEGAL EMERGENT = VISION DU LIBERALISME SOCIAL DU PRESIDENT MACKY SALL : « UN SENEGAL DE L’ASSAINISSEMENT, DE L’EAU POUR TOUS, PARTOUT, EN QUANTITE ET EN QUALITE. » contexte et actualité obligent venait bien à son heure. Les militants, responsables du parti présidentiel, les représentants des partis alliés de la Coalition Benno Bokk Yaakar, comme la dame Anna Mendy, la responsable des femmes de l’AFP , dans la localité et ardente défenseur du Président Macky, bien connue pour ses répliques dans les émissions interactives étaient tous là. Le cachet particulier de cette rencontre, aura été sans doute la présence massive, hautement significative et symbolique d’autres citoyens , à savoir des présidents d’associations de délégués de quartiers, autorités religieuses, imams, des femmes volontaristes sociales, les « Badienou Gokhe. » Elle se justifiait à plus d’un titre. En tant que régulateurs, et médiateurs sociaux, ils devaient bien avoir l’information, la bonne, parce que vraie concernant les actions, les réalisations du Gouvernement sous le magistère du Président Macky SALL, depuis 2012, la problématique de l’eau, prétexte de la marche organisée dans cette localité la veille même de cette session, dans ses multiples causes pour pouvoir jouer pleinement leur rôle de trait d’union entre l’Etat, ses démembrements et leurs concitoyens. Le député et non moins mandataire du département de Dakar chargé des Elections, Badou Diouf n’avait pas manqué dans une brillante présentation d’expliquer les motifs du système de parrainage requis pour les candidats aux prochaines élections présidentielles.
Le gouvernement du Président Macky Sall , pris en la personne du Ministre de Tutelle , celui de l’Hydraulique, le Ministre Mansour Faye dont l’ardeur au travail, doublée de courtoisie, d’ humilité est à saluer n’a pas manqué d’ exprimer ses regrets à l’endroit des populations touchées et ne s’est point ménagé à ce jour pour mettre fin aux souffrances des populations. Mais parle t ’on aujourd’hui des inondations, psychose jusqu’en Mars 2012 des populations des banlieues et de certaines contrées du pays, que la simple apparition des nuages, le grondement des tonnerres accompagnés d’éclairs pendant l’hivernage réveillait les souvenirs cauchemardesques des eaux dévastatrices, charriant déchets, eaux sales avec leur lot de désolation , morts, blessés, destructions des biens, maladies( diarrhées , paludisme) ? Non ! Parce que le Chef d’Etat a pu, en peu de temps apporter à cet épineux problème une solution heureuse. Ses politiques, programmes, plans globaux, sectoriels sont bien passés par là. Les instructions de monsieur le Président de la République en matière d’assainissement, appliquées avec une attention particulière par le gouvernement, sous la conduite de l’infatigable et talentueux Premier Ministre Mahammad Boun Abdallah Dionne, le ministre de l’Hydraulique monsieur Mansour Faye, le directeur de l’ONAS, monsieur Lansana Gagny Sakho et leurs dévoués collaborateurs ont bien produit les effets résiliant escomptés .
« Plus qu’un slogan, les objectifs d’assainissement pour tous en 2030 seront une heureuse réalité que connaîtront nos populations dont l’amélioration des conditions de vie par un environnement décent est le premier indicateur de performances dans ce domaine et l’Afrique ne peut pas se permettre de rater ce deuxième objectif de 2030. » Plus qu’une profession de foi, ces déclarations tenues par Son Excellence Monsieur le Président de la République lors de son allocution à la cérémonie d’ouverture de la Quatrième Conférence Régionale sur l’Hygiène et l’Assainissement ont été bien traduites en actes en termes de réalisations, au grand bonheur des populations . Il se trouve que l’assainissement, comme l’a si bien rappelé le ministre, est devenu un enjeu de santé publique.
Ce qu’a bien compris l’accessible directeur général de l’ONAS, en faisant sienne avec son équipe de collaborateurs la réponse structurante du Président Macky SALL à travers le Programme Décennal de Lutte Contre les Inondations PDLI).
S’agissant de l’assainissement, les bons points du Programme DECENNAL DE LUTTE CONTRE LES INONDATIONS (PDLI) ont bien libéré des millions de sénégalais. La déclinaison du PSE vers l’assainissement à travers un autre programme, le Programme Décennal de Gestion des Inondations (PDGI) d’un montant 750 milliards de francs CFA pour la période 2012 à 2022 dans le cadre du volet « Renforcement de la Résilience des villes, avec un montant de 65000 MIde l’atteste bien. Dans le secteur d’Assainissement, l’accent est mis aujourd’hui sur des projets structurants, qui ont démarré et portant notamment sur les anciens quartiers de Dakar, les villes de Fatick, Joal Fadhiouth, Ziguinchor, Kaffrine, Dakar, à hauteur de 52000 m3, Pikine, Saint Louis, Kaolack, Matam, Tambacounda, Touba, Tivavouane et Louga. Il devra concerner 3 millions d’habitants, pour une enveloppe de 60 milliards de FCFA. Ce projet vise la mise en place de réseaux d’assainissement d’eaux usées, la réalisation de 7 stations d’épuration, de réseaux de branchements à l’égout ( 200 000 personnes, d’édicules publics et la construction de nouveaux systèmes de drainage des eaux pluviales en particulier dans la commune de Kaolack.
Il en sera bien entendu de même sous peu pour l’eau. La tenue imminente d’un Conseil Présidentiel sur l’Eau annoncée par le Président Macky Sall, lors du dernier Conseil des Ministres le confirme bien. Et des voix autorisées, celles de nos valeureux, fonctionnaires du ministère, nos ingénieurs, cadres, techniciens, orfèvres en la matière de la SONES, la SDE, l’ONAS, l’OFOR, et autres agences et projets l’avaient bien démontré au cours de cette session.
S’agissant du Programme Spécial d’Amélioration de l’Alimentation en Eau Potable de Dakar ( PSdak), depuis 2014, 60 forages ont été réalisés, 7 réhabilités à Dakar et plus de 500 milliards FCFA mobilisés pour des projets comme Keur Massar 3 (KMS3 et Dessalement DSL1). La production moyenne d’eau potable pour la ville de Dakar et ses extensions correspond actuellement à un volume de 360.000 m3/jour, soit un peu plus des 2/3 de la production de l’ensemble du périmètre de l’Hydraulique urbaine. S’étendant sur 0,3% du territoire national, Dakar regroupe le 1⁄4 de la population, soit près de 4 millions d’habitants. L’approvisionnement en eau potable de Dakar est assuré par deux sources d’eau: les usines de Keur Momar Sarr et Ngnith installées sur le Lac de Guiers d’une part (eaux de surface) et, d’autre part, les forages du Littoral Nord, de Pout Sud, Pout, Kirène, Kelle, Kébémer et Dakar (eaux souterraines). Le problème est que la demande est tirée vers le haut par la croissance démographique, l’extension de la ville et les activités économiques et la Plateforme de la Ville Nouvelle de Diamniado. Pour y faire face, depuis 2012, les différents programmes d’urgence ont permis de mobiliser une production supplémentaire de 100.000 m3/jour, soit 26,6% des besoins actuels de pointe. En vue donc de rattraper le retard accusé dans la mobilisation des financements, l’Etat a aussi entrepris un vaste programme d’urgence, d’un coût global de 13 milliards FCFA. Ainsi, ces investissements ont permis de réaliser 60 forages et d’en réhabiliter. En dépit de cette augmentation considérable de la production, le Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement a initié le Programme Spécial d’Alimentation en eau potable de Dakar (PSDAK. Il vise à renforcer la production, améliorer la qualité de l’eau distribuée et sécuriser la fourniture d’énergie électrique. Le PSDAK constitue une solution intermédiaire en attendant la réalisation des ouvrages structurants KMS3 et l’Usine de Dessalement des Mamelles par la SONES.
Ce programme nourrit la noble ambition d’impacter de manière positive les zones déficitaires.
Il faut bien reconnaître que le Programme d’urgence complémentaire de l’alimentation en eau Potable de Dakar à Partir de Bayakh est commandé par cette très forte évolution de la demande sur la période 2015-2020 à Dakar, Thiès et sur la Petite Côte.
Il fallait d’abord porter à la connaissance du public la problématique de l’eau sous différents aspects sous l’angle des facteurs explicatifs de cette situation, la problématique, et les solutions définitives dans le cadre de projets structurants, bien pensés, définis et conçus par le Chef de l’Etat, et réalisés de mains de maitre par le Premier le Ministre avec le ministre de tutelle celui de l’Hydraulique et de l’Assainissement social Monsieur Faye, et ses collaborateurs, directeurs généraux de la SONES, monsieur Charles Fall , et Abdoul Ball de la SDE, et monsieur Lansana Gagny Sakho de L ‘ONAS.
On pourrait bien citer d’autres facteurs explicatifs de la mise en place de projets structurants . Dans tous les cas le Président Macky Sall compte apporter des réponses à tous ces problèmes s’il plait au bon DIEU.
Le jour tant attendu pour la réalisation arriva avec la visite ce mardi de l’infatigable Premier Ministre, venu à Bayakh pour procéder à la mise en service des 5 forages. Comme il l’avait bien expliqué , ces forages seront reliés à une station de pompage équipée de ballons anti –bélier qui va recevoir et traiter toute la production d’eau avec un réservoir de 15000 m3 d’eau, non sans avoir rassuré les maraîchers et les populations locales craignant d’être en rade avec la déconnexion. Des instructions, poursuit-il ont été données par le Chef de l’Etat pour la réhabilitation du forage de Diender et la construction d’un nouveau forage.
Avec le Programme d’Urgence Complémentaire de l’Alimentation en Eau Potable de Dakar à partir de Tassette (PUCAEPDT), le problème de l’eau sera définitivement réglé.
L’objectif du Président Macky SALL ne se limite pas seulement à satisfaire les besoins en eau des populations de la ville de Dakar et de ses banlieues. Au vu du Rapport d’Etape de Mai 2017, «Le Sénégal de l’Eau et de l’Assainissement Pour Tous» au regard de l’etat d’exécution des Programmes Investissements des Conseils Des Ministres Délocalisés pour l’Hydraulique et l’Assainissement a dépassé les objectifs par rapport aux prévisions.
S’agissant de l’hydraulique rurale, le programme de réalisation des 300 forages lancé en 2013 s’est traduit à ce jour par la construction de 223 ouvrages dont 210 forages et 13 stations de pompage qui ont permis de toucher 630.000 personnes. Un programme de 60 milliards de francs CFA vient d’être finalisé avec EXIMBANK Chine pour la livraison en 2018 de 251 systèmes d’approvisionnement en eau potable.
En matière d’hydraulique urbaine, les investissements ont donné lieu à un nouveau maillage du territoire et à une nouvelle carte de l’alimentation en eau potable dans les principaux centres urbains. Plus de 53000 branchements sociaux ont été ainsi réalisés, avec plus de 720 kilomètres d’extension des réseaux et 255 kilomètres de renouvellement, en plus du Programme d’Urgence de Réalisation de Forages à Dakar ( 20 forages réalisés). Le financement de l’usine de traitement d’eau potable KMS3 ( Keur Massar 3), d’un coût de 274,2 milliards a été bouclé. Il en est de même du Projet de Dessalement de l’Eau de Mer intégrant un renouvellement de 460 km de conduite à Dakar pour 135 milliards de francs CFA. Ces deux projets vont contribuer à la mise à disponibilité d’un volume de 300. 000 m3/ jour couvrant notamment les besoins de Dakar, Diamniadio et la Petite Côte jusqu’en 2035.
Et quoi d’autre alors sur le programme et les réalisations du Président Macky Sall en matière d’hydraulique et d’assainissement ? L’Humanisme à la fois républicain, économique, politique du Président Macky SALL inspire bien ses projets, plans, politiques globales, sectorielles à tous les nouveaux.
Ce qui lui confère aujourd’hui un leadership incontesté et reconnu de tous en matière de bonne gouvernance à la fois républicaine et humanitaire. La conséquence est que le gouvernement de notre cher Sénégal est crédité d’une marque de confiance, qui lui a ouvert toutes les portes des centres de décision de partenariat pour le financement de nos projets structurants. Le Président a bien compris que le Sénégal de Tous , Un Sénégal Pour Tous se fera Par Tous. Ainsi, à côté des chantiers infrastructurels, le Président invite tous les sénégalais à bâtir ensemble d’autres plus importants : les chantiers des cœurs et des esprits. Le Secrétaire Général de l’Ecole du Parti monsieur le Conseiller Economique Salam Gueye, dans sa présentation du thème : Conquête et Gestion du Pouvoir, s’est fait fort de rappeler les fondamentaux de l’ Alliance Pour la République, en convoquant les Statuts et le Règlement Intérieur et la Devise du Parti à savoir Solidarité- Travail-Dignité.
Il urge alors pour chacun d’entre nous, élève, étudiant, ouvrier, artisan, fonctionnaire, le commerçant, député, ministre, DG de faire son introspection ! Que chacun accomplisse sa tâche avec abnégation et sans relâche !
La Paix est au commencement et à la fin de tout. Rien de durable ne peut se faire sans elle.
La réalisation des objectifs du Plan Sénégal Emergent (PSE) comme l’a si bien rappelé monsieur Djibril Ba le Responsable des cadres APR des Parcelles Assainies, le Rapporteur National de l’Ecole du Parti nécessite une mobilisation nationale. Il a salué à cet égard l’approche inclusive adoptée par monsieur le Président Macky Sall de la conception du Plan Sénégal Emergent (PSE) à son déroulement, avec l’implication de tous les acteurs. Mais cela requiert, dit-il de part et d’autre des conditions liées au respect de certaines règles et valeurs, non écrites même, dont la sincérité et le don de soi. L’exemple doit donc provenir de nous qui sommes au pouvoir.
Alors, Chers compatriotes refusons nous d’être divertis par les nuisances bruyantes provoquées par les grésillements des grillons, les craquètements des cigales, criquets, le bourdonnement des guêpes, le hululement des hiboux, le croassement des grenouilles, qui polluent l’air par leurs épanchements mensongers, insultes, dénigrements qui n’épargnent ni les autorités étatiques, institutionnelles, religieuses, et même les magistrats, et qui étouffent jusqu’à l’asphyxie les honnêtes gens , les travailleurs . Que dire de ces devins, météorologues politiques, qui se prennent tellement au sérieux à l’évocation de leur titre pompeux mais fumeux « d’analystes politiques », qu’on leur attribue complaisamment sur les plateaux des radios et télévisions, et qui, hier prédisaient l’échec de l’autosuffisance en riz et un funeste avenir au Plan Sénégal Emergent le (PSE). Comme à l’accoutumée, sous de faux airs de compassion à l’endroit des populations ils revendiquent avec force être leur défenseurs par des vociférations s’ils n’excellent dans la danse du scalp autour de leur victime désignée le Président Macky SALL.
Aujourd’hui le deuxième tour des élections du Mali et les péripéties électorales au Zimbabwe constituent la matière inespérée à leurs oracles, objet de leurs incantations lors de leurs messes noires de prédiction d’un sombre et funeste présage avenir pour la débâcle au premier tour de la Coalition Benno Bokk Yaakar pour les prochaines élections présidentielles de 2019. Pendant que nos saints, avec le retard des pluies font des prières pour un bon hivernage. Les membres de la Coalition Benno Bokk Yaakaar dont nous saluons les leaders et les militants continueront toujours à adopter au contraire la posture de la fourmi, silencieuse mais travailleuse à l’image de notre Président Macky. Faisons donc nôtres sa sérénité et son abnégation au travail, valeurs tant chantées par un grand penseur R. Kipiling : « Si tu peux conserver ton courage et ta tête quand tous les autres les perdront, tu seras un Homme mon fils. »
Maitre Djibril WAR Député, Président de la Commission Ad Hoc, chargée de La Reforme du Parlement Panafricain PAP
Directeur de l’Ecole du Parti de l’Alliance pour la République APR
wardjibril@yahoo.fr