Les jours passent et les nouvelles, qui proviennent de l’Institut Pasteur sont, de plus en plus, rassurantes. Le coronavirus perd du terrain à Ndoumbélane. Comme un artiste en panne d’inspiration, il n’occupe plus le centre des débats sur les réseaux sociaux et dans les médias. Les histoires de sexe, d’argent, de viol et les actes barbares infligés aux femmes reprennent, peu à peu, leurs places sur les »UNE » des quotidiens et sur les statuts et groupes WhatsApp.
Ces derniers ont du mal à maîtriser la propagation de l’épidémie chez eux, comme les acteurs de la lutte sénégalaise ont tous les problèmes du monde, pour se débarrasser d’Alioune Sarr, qui dirige le Cng, depuis 1994. Sans doute, le temps passé à combattre les maladies l’ont amené à comprendre les mécanismes de survie des virus dans les corps infectés.
Maam Sagar (Source A)