Alors que le procès de l’ancien président de l’IAAF, Lamine Diack se poursuit demain en France, le ministre de la Justice Malick Sall estime que tout ce que peut faire le Sénégal, c’est lui apporter un soutien moral par le canal de son consulat. A en croire le Garde des Sceaux, les accords existent uniquement dans le cadre de l’exécution de la peine.
S’agissant du cas de Pape Massata Diack, qui est sur le coup de deux mandats d’arrêt, Me Malick Sall révèle que le Sénégal a le droit de refuser son extradition. Il informe que celui-ci peut être jugé à défaut à Paris, comme il peut être jugé à Dakar.
Maguette Ndao (Actusen.sn)