Si chaque pays africain n’a pas les moyens de financer tout seul ses propres usines, il faut une solidarité africaine. Les pays doivent se soutenir mutuellement et financièrement pour la réalisation de ces projets. Pour la réalisation de tout ceci, il faut ramener les Africains de la Diaspora qui travaillent dans ces industries et qui ont la connaissance des métiers, leur proposer de bons salaires, créer ces filières dans les dix écoles d’ingénierie et créer les universités purement scientifiques.
Attention : si chaque pays africain reproduisait typiquement le même model, on va rater notre nouvelle politique de développement.
Le village de Dioghère situé dans la commune de Sansamba, département de Sédhiou, région de Sédhiou, manque d’eau potable, d’électricité, de collège d’enseignement moyen, d’école primaire vieillissante qui manque de clôture, de fermes agricoles villageoises, de moulins et de marchés car le village dispose d’un grand champ d’exploitation mais connaît des difficultés pour écouler les produits agricoles.
Le village de ma mère s’appelle THIEO, il se situe dans la commune de NOTTO DIOBASS et il manque d’un Collège d’enseignement moyen. Les enfants rallient à pied la commune de Diass qui se situe à des kilomètres ; l’école primaire manque de toilettes adéquates. Ceci est le programme proposé à l’Afrique de 2015 à nos jours
ANNE FRANCOISE MOSSANE MANGA