La rationalisation des dépenses publiques pour créer des emplois avec les profits générés, comme le fredonnent les dépositaires du nouveau régime, est encore loin de nous.
En effet, L’As, dans sa livraison de ce mercredi 1er février, renseigne que l’Etat du Sénégal continue à soutenir une ardoise lourde pour ses factures d’électricité. «L’Etat brûle 30 milliards par an». C’est, d’ailleurs, le titre qui barre la «Une» du canard de Thier Talla.
Ce chiffre, selon L’As, représente 10% du chiffre d’affaires de la Senelec. Et pour le journal, c’est un énorme gâchis, dans un pays où l’accès à l’énergie reste un point noir du développement du pays.
Fort de ces constats, ajoutent nos confrères, l’Agence pour l’économie et la maîtrise de l’électricité (Aeme) a lancé une étude appelée : «Analyse-suivi et réduction des dépenses d’électricité pour le secteur public». Reste à savoir, si le pari sera gagné.
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