Le mariage, c’est pour le meilleur et pour le pire. Mais cette assertion n’est pas, toujours, la tasse de thé des mille cinq cents personnes vivant avec une insuffisance rénale au Sénégal.
Selon L’Observateur qui a consacré un dossier sur la dialyse en prélude de la journée mondiale du rein, la cohabitation entre époux n’est pas toujours facile.
En effet, interrogée par nos confrères, Ndeye Coumba Diagne, présidente des cent-trente-deux insuffisants rénaux du Centre ABC Hémodialyse, est d’avis que les hommes et les femmes mariés se fuient mutuellement.
Pis, dit-elle, des hommes convolent en justes noces parce que leurs épouses sont atteintes d’insuffisance rénale. Et vice-versa. A cause surtout, des coûts onéreux qui avoisinent, deux cent mille francs tous les mois.
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