Entre la controverse et la gouvernance de Sa Majesté, ça ressemble à une relation de longue date. La preuve, l’essoufflement de la Crei à l’endroit des présumés anciens dignitaires pilleurs des deniers, on en parle toujours.
Au même moment, Niangal propose à Goorgorlu un autre os à ronger : la libération-déportation de Karim Wade.
Lorsque Idy s’en émeut, ses « chiens de garde » insultent le pauvre, comme pas possible. Les puristes s’en électrifient de nervosité et Buur Fatick ouvre un autre front. En raflant les mendiants, coupables de vouloir trouver de quoi se mettre la dent.
Dans la foulée, l’auteur de « ko fagn, fagn, fagn, awathiathia » troque Nafi Ngom Keita contre Seynabou Ndiaye Diakhaté, alors qu’il reste à l’ex-patronne de l’Ofnac huit mois de magistère.
Du coup, il ne reste plus à « Ngoor » qui avait fracassé la porte du bureau de vote à Fatick, qu’à fredonner « thioow momay doundal, xana nékh! » (je me nourris de la polémique, n’est-ce pas alléchant !)