L’Iran l’a eu mauvaise suite au match nul concédé face au Portugal (1-1). Une 3e journée qui les renvoie à la maison malgré de très bonnes prestations. S’il s’en est fallu d’un rien, les hommes de Carlos Queiroz ont dénoncé un arbitrage jugé partial.
Cristiano Ronaldo a eu beau sourire et faire non de la tête, il n’est pas passé loin du carton rouge. « S’il y avait eu une justice en football, ce qui n’est pas le cas, le vainqueur aurait dû être l’Iran. » Carlos Queiroz a eu du mal à accepter l’élimination suite au match nul concédé face au Portugal (1-1). De nationalité portugaise, le sélectionneur iranien connaissait parfaitement les forces et les faiblesses d’un adversaire qui aura ramé tout du long de cette phase de groupes.
Mais au-delà du résultat, c’est l’application de l’arbitrage vidéo (VAR) qui lui a posé problème. Il n’est évidemment pas le seul mais même avec les images, il reste une interprétation humaine et donc des désaccords potentiels. C’est le cas de Queiroz pour l’avertissement reçu par Cristiano Ronaldo après l’usage du VAR pour un coup de coude jugé volontaire par le corps arbitral sur Ezatolahi.
« Quand il y a un coup de coude, la règle dit que c’est carton rouge. Les règles ne disent pas que c’est différent si c’est Messi ou Ronaldo. Quelle est la différence entre un coup de coude de Cristiano ou de Ramin ? Si l’arbitre a arrêté le jeu pour regarder la vidéo, c’est qu’il s’est passé quelque chose« , a ajouté Queiroz devant la presse.
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