Les Algériens sont appelés aux urnes le 1er novembre pour se prononcer sur une nouvelle constitution. Présentée comme, « une avancée de la démocratie et des libertés », par le président Abdelmajid Tebbounne, cette nouvelle République serait une réponse au Hirak, le mouvement populaire fortement réprimé ces derniers mois. Les avis sont toutefois partagés sur le bien-fondé de ce référendum.
Cette nouvelle constitution serait un garde fou contre des mesures autocratiques, selon le gouvernement. Des intentions peu crédibles pour l’opposition, qui souhaite une réelle séparation des pouvoirs entre l’exécutif et le judiciaire.
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