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Amnesty International, une risée mondiale (par Brahim Ben Barek)

Il est acquis qu’Amnesty International est une organisation au service des ennemis du Maroc afin de le provoquer, par des rapports foireux sur la base des déclarations des commerçants des Droits de l’Homme pour se remplir les poches, en fournissant de fausses informations à des officines telles HRW, Reporters Sans Frontières et bien d’autres organisations. Des renseignements et témoignages qui relèvent plus de l’espionnage et de la traîtrise que du militantisme des Droits de l’Homme.

Cette organisation contre les Droits de l’Homme, qu’est Amnesty International, s’est faite déboutée, le 13 juillet 2020, et ce, de manière formidable, par la justice de l’État d’Israël pour manque de preuves flagrantes dans l’affaire Omar Radi visant à interdire la société israélienne de cybersécurité « NSO Group » d’exporter sa technologie à l’étranger.

La magistrate israélienne du Tribunal du district de Tel Aviv a expliqué, dans sa décision rendue publique, que les avocats d’Amnesty International n’ont pas fourni suffisamment d’éléments pour prouver qu’une tentative a été faite pour surveiller un pseudo militant des Droits Humains en tentant de pénétrer son appareil téléphonique. Une décision rapportée par les agences de presse AP et AFP ainsi que le prestigieux journal américain New York Times. Du jamais vu !

Il est donc acquis qu’Amnesty International est devenue une organisation è la solde des ennemis du Maroc et dont son obsession serait de le provoquer, par de pleutres rapports, pour se remplir les poches en fournissant aux officines AI, HRW, Reporters sans frontières et bien d’autres organisations des renseignements et témoignages qui relèvent plus de l’espionnage et de la traîtrise que du militantisme des Droits de l’Homme.

Force est donc de constater qu’Amnesty International a révélé que l’élaboration de ses fameux rapports ne se basait que sur des « croyances ». Le mythe s’est effondré. « We believe (Nous croyons) » est l’ultime subterfuge sémantique auquel a recouru Amnesty International pour répondre à la demande des autorités compétentes marocaines qui lui ont demandé des preuves concrètes pour appuyer les allégations dont l’organisation avait accusé à tort le Maroc.

Il s’avère donc que les fameux rapports ne sont plus élaborés sur des bases scientifiques et méthodologiques, sur des arguments et des preuves concrètes, mais simplement sur des croyances et que donc AI est une organisation au service des ennemis du Maroc et tout leur capital soi-disant militant n’est basé que sur des apparences d’éthos d’opposants et des vocables politiques ayant des connotations historiques.

En fait, il s’agit des mêmes refrains échangés autour du même verre et aux mêmes endroits, qui sont généralement des comptoirs de bars. Et pour donner une certaine légitimité à leurs propos, ils n’ont pas froid aux yeux et évoquent les anciens opposants et militants, comme s’ils leur avaient légué un héritage à préserver.

Cependant, contrairement aux anciens opposants authentiques qui étaient emprisonnés pour leurs positions politiques, la spécificité de ces opposants sur la base de croyances est qu’ils n’ont jamais été interpellés ou écroués pour raisons politiques, mais pour des motifs d’ivresse publique, de scandale sur la voie publique ou encore pour irruption dans une mosquée dans le but de prêcher à la place de l’imam, sans parler des viols et tentatives de viol.

Cette ONG, sous couvert de défense des Droits de l’Homme, a toujours observé une attitude hostile à l’égard du Maroc. Pour s’en rendre compte, il suffit de comparer ses rapports des années soixante-dix et quatre-vingt du siècle dernier sur le Maroc, d’une part, et sur l’Algérie et bien d’autres pays de par le monde, d’autre part, tout en notant un acharnement contre le Maroc.

Par ailleurs, tous les adhérents d’Amnesty International sont fondés à s’interroger sur la manière dont celle-ci a acquis l’expertise et les labos qu’il faut pour dire qu’un cellulaire a été trituré.

Donc, il serait fortement souhaitable que ce business des Droits de l’Homme soit puni sévèrement par la justice et qu’elle prononce la dissolution de toute ONG qui fournit des mensonges sur des prétendues violations des Droits de l’Homme.

Au fait Omar Radi et son compère, Imad Stitou, sont cordialement invités à se présenter devant le Tribunal pour ivresse publique et violences à la sortie d’un bar à Casablanca.

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