Tout ne semble pas être blanc comme le lait de Satrec Vitalait. Pour cause, le journal Libération barre sa Une du jour par des accusations de fraude fiscale présumée. Lesquelles sont portées contre Satrec Vitalait révèlent leurs secrets.
Dans cette affaire, le corbeau, écrit le canard de Cheikh Mbacké Guissé, se nomme Alioune Diallo et son dossier est une bombe digne du nom. Ancien comptable de la Société, il a saisi l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) pour des faits de fraude fiscale présumée, dont se serait rendue coupable la Société dirigée par Chawouki Haidouss.
D’après toujours Libération, une enquête a été ouverte en 2008, mais a été étouffée dans l’oeuf. Or, cette fraude présumée aurait causé un préjudice de plusieurs milliards F Cfa. Face à cette inertie d’alors des Services fiscaux, le dénonciateur avait saisi des journalistes, qui, à leur tour, avaient sombré dans les mains de Chawouki Haidouss. Qui a été épinglé par la Senelec pour vol d’électricité. Et qui avait payé 300 millions F Cfa pour éviter des poursuites judiciaires.
Actusen.com