La société civile a partagé, avec la Direction générale des élections, le dispositif que celle-ci compte utiliser pour le parrainage instauré dans le cadre des élections législatives du 31 juillet. Il s’agit notamment de savoir quel logiciel sera utilisé pour tester sa fiabilité. Et à l’issue de cette rencontre, la société civile a noté des améliorations notables apportées aux modalités de contrôle des parrainages. Elle a aussi formulé des recommandations, avant d’inviter l’opposition et le pouvoir à s’asseoir autour d’une même table pour trouver les solutions les plus adéquates aux problèmes posés par le système de parrainage.
Lors de cette séance d’exposé, la société civile a pris acte des améliorations notables apportées aux modalités de contrôle des parrainages constatées
Au terme des échanges avec la direction générale des élections relativement aux questions formulées sur tous ces points, ajoute le document, «la société civile regroupée autour de la PACTE et du COSCE prend acte des améliorations notables apportées aux modalités de contrôle des parrainages constatées lors de cette séance d’exposé». Toutefois, des avancées ont été notées par la société civile comme «une application de contrôle multicritères permettant d’identifier l’électeur en cas d’erreur matérielle ; le contrôle des parrainages en présence de la Cena, des mandataires des listes contrôlées et de la société civile ; la réaffectation de l’électeur dans sa région d’origine sans préjudice de la recevabilité de la liste si le minimum régional requis est atteint ; le contrôle de la liste jusqu’à concurrence du minimum requis en cas de dépassement ; l’acceptation par l’administration d’apporter une plus grande précision dans la fixation du jour et de l’heure d’ouverture du dépôt».
La société civile fait des recommandations à l’Administration et appelle le pouvoir et l’opposition à accentuer le dialogue et la concertation en vue de trouver les solutions les plus adéquates aux problèmes posés par le système de parrainages»