En Birmanie, tandis que les manifestations et la répression se poursuivent, les sanctions internationales se multiplient et les États-Unis annoncent un nouveau volet de sanctions pour tenter de contrecarrer les plans des militaires au pouvoir.
Le Canada, l’Union européenne et la Grande-Bretagne ont annoncé des sanctions visant les militaires cette semaine, et, dernier geste en date, les États-Unis inscrivent sur leur liste noire les ministères birmans de la Défense et de l’Intérieur, jugés « responsables du coup d’État », ainsi que deux entités commerciales qui détiennent les ficelles de l’économie birmane. Et cela touche aussi bien leurs intérêts immobiliers que le commerce de la bière.
Rfi.fr