ACTUSEN
A LA UNENewsSociété

Derrière la légende racontée autour de la gestion du directeur démissionnaire : l’hôpital de Linguère se porte à merveille

Contrairement à une certaine légende, la gestion d’Abdou Sarr n’a pas été si mauvaise que le prétendent ses contradicteurs. En attestent les recettes de l’Hôpital qui sont passées de 215 millions F Cfa en 2014 à 483 millions en 2019. Avec à la clé, plus de 400 millions F Cfa actuellement dans les caisses. Mieux, le démissionnaire n’a jamais cessé, depuis sa prise des commandes en 2015, d’élever toujours plus haut l’étendard du plateau médical de ladite structure.

Certes, l’incendie qui a emporté les quatre bébés va marquer à jamais les esprits, mais tout n’a pas été nul dans le bilan du désormais ancien maître des lieux. Car, contrairement à une certaine légende, la gestion d’Abdou Sarr n’a pas été si mauvaise que le prétendent ses contradicteurs. En attestent les recettes de l’Hôpital qui sont passées de 215 millions F Cfa en 2014 à 483 millions francs en 2019. D’ailleurs, le 26 de chaque mois, le personnel est payé.

Ce n’est pas tout. Le tout teinté de l’équilibre des comptes basés sur la maîtrise des charges mais surtout sur un accroissement régulier de la production et du résultat d’exploitation.

Les recettes de l’Hôpital qui sont passées de 215 millions F Cfa en 2014 à 483 millions francs en 2019. D’ailleurs, le 26 de chaque mois, le personnel est payé

L’ancien boss de l’Hôpital, c’est aussi l’amélioration du cadre de travail à travers un environnement bien soigné avec une propreté des locaux reconnue de tous, une reprise intégrale du revêtement mural, l’aménagement d’espaces verts et la révision du réseau d’assainissement ; la construction d’un service d’accueil des urgences aux normes devenu fonctionnel depuis février 2021 grâce à un renforcement des effectifs du personnel médical, paramédical et de soutien et une dotation en équipements médicaux par le ministère de la santé sont à l’actif de la défunte gestion d’Abdou Sarr.

Egalement, la continuité des offres de chirurgie gynéco-obstétricale, viscérale et orthopédique grâce à une politique d’attractivité et de maintien de ces spécialistes ; la disponibilité d’offre de service de cardiologie ; l’amélioration de l’hygiène hospitalière grâce à l’utilisation de champs opératoires à usage unique et du drap unique par malade ; la diversification de l’offre de service de labo épousant voire dépassant le maximum autorisé du paquet d’activités d’un EPS de niveau 1 par la carte sanitaire portent les empreintes du directeur démissionnaire.

A cela, s’ajoutent l’amélioration de l’offre de services de santé maternelle et infantile, le développement de la prise en charge de qualité des urgences, la mise en œuvre d’une politique d’attractivité et de maintien des médecins spécialistes, le renforcement des services médicochirurgicaux et médicotechniques, l’amélioration de l’hygiène, la qualité et de la sécurité, ainsi que de la gouvernance hospitalière. Ce, sans compter l’accroissement du patrimoine hospitalier à travers des investissements sur l’infrastructure, les équipements médicaux, le mobilier et le matériel de bureaux, le matériel informatique ainsi que la logistique roulante.

Actusen.sn

Related posts

Situation des hommes religieux dans les ambassades, obtention des visas et le pèlerinage chrétiens : Le coup de gueule de Toussaint Manga

Législatives 2017: Mankeur Ndiaye en guerre contre Oumar Sarr à Dagana

Les rebelles de Salif Sadio montrent leur vraie nature

Actusen

Leave a Comment