La justice française a ordonné mardi à la société Twitter de communiquer à des associations de lutte contre les discriminations, dans un délai de deux mois, des documents détaillant ses moyens de lutte contre la haine en ligne. Six associations avaient assigné le réseau social à Paris en mai 2020, estimant que l’entreprise manquait de façon « ancienne et persistante » à ses obligations de modération. Elles ont demandé qu’une expertise soit ordonnée dans le but d’engager, par la suite, un procès sur le fond.
Rfi.fr