Crédité d’avoir le verbe à la fois sec et âcre et de relations, fondamentalement, cordiales avec certains de ses collègues, Ibrahima Souka Ndella Diouf, tranche en ces termes : «je ne peux pas me mettre là à faire des promesses insoutenables et qu’ils reviennent, de façon assez régulière, pour relancer le même problème. Je dis non, ça, ce n’est pas possible, je suis vraiment désolé, je ne peux pas le faire. Si c’est cela qu’ils appellent sec ou âcre, oui je suis sec et âcre».
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