Demandez lui s’il fait partie de la cohorte de footeux jet-setteurs, flambeurs dans les boites de nuit et la réponse de l’International sénégalais tombe sèche. Dans les colonnes de L’Observateur, Ibrahima Touré déclare à qui veut l’entendre n’être point un jet-setteur. Loin s’en faut !
Et pour convaincre les plus sceptiques quant au fait qu’il est aberrant et injuste de lui coller ce statut de viveur, Ibrahima Touré dit n’avoir jamais mis les pieds dans une boîte de nuit, au Sénégal. D’ailleurs, dit-il, les gens, qui me connaissent, peuvent en témoigner.
Pour lui, c’est peut-être la chanson de Wally Seck qui lui a collé cette réputation de flambeur, mais, honnêtement, il dit n’en être pas un.
Quid de l’affaire de la Range Rover dans laquelle son nom est cité et pour laquelle le juge d’instruction est en train d’enquêter? Ibrahima Touré confie à nos confrères : “ma relation avec Wally seck ne date pas d’aujourd’hui. Je le considère comme un frère. Là, je me concentre sur ma carrière, c’est ma priorité”.
Poursuivant, l’international sénégalais, qui rêve de revenir, un jour, en équipe nationale, malgré le fait qu’il traîne trente ans, en rajoute cette couche : “vous savez, cela fait un an que je ne sais pas vraiment ce qui se passe au Sénégal, c’est pourquoi je ne veux pas m’aventurer dans cette histoire de voiture. J’en avais déjà parlé”.
Ce qu’il en avait dit, c’était “je ne suis pas du genre à étaler ce qui se passe avec mes amis et moi. Je n’ai jamais été impliqué dans une histoire de voiture volée. La voiture en question avait des papiuers en règle, je l’avais déjà à Monaco”.
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