À deux mois de la fin du mandat de Donald Trump, Washington a pris, mercredi 18 novembre, de nouvelles sanctions à l’encontre de l’Iran, visant le ministre des Renseignements, mais aussi la fondation Bonyad Mostazafan, gérant les fonds des biens confisqués après la Révolution islamique.
L’administration Trump vise aussi 50 de ses filiales « dans des secteurs clés comme l’énergie, les mines, la logistique, les technologies de l’information et les services financiers, qui comptent pour une large part des milliards de dollars de l’empire économique » de la fondation.
Quelques heures plus tôt, Téhéran s’est pourtant déclaré disposé à revenir « automatiquement » au respect de ses engagements nucléaires si la future administration de Biden levait les sanctions.
Rfi.fr