Alors qu’une réunion était organisée, le 18 juillet 2020 au Conseil de Sécurité, par les Quinze sur le thème « Les femmes, la paix et la sécurité : violence sexuelle dans les conflits », l’Afrique du Sud n’a point raté cette occasion pour se faire l’avocat du diable qu’est le polisario sur instigation des responsables algériens.
Ainsi, la Ministre sud-africaine, Madame Naledi Pandor, sur instigation des responsables algériens, s’est permise de citer la question du Sahara marocain dans son intervention en indiquant que « Les situations de conflit comme en Palestine et au Sahara occidental, où les violations des Droits de l’Homme sont répandues et où les femmes sont touchées par les hostilités, ne doivent pas échapper à notre examen ».
Il est aisé de constater que l’intervention de cette Ministre était en totale contradiction avec le thème de la réunion et reflétait les instructions reçues des autorités algériens avec une prime en dollars sonnant et trébuchant. Elle a bien engraissé la petite !
Mieux, elle ne possédait aucune preuve pouvant étayer ses accusations contre le Maroc et donc sa déclaration rappelle le discours prononcé le 09 avril au Conseil de Sécurité par le représentant de l’Afrique du Sud à l’ONU, pointant la « responsabilité du Maroc dans la propagation de la pandémie du coronavirus » dans les villes du Sahara marocain. Entre nous, elle ferait mieux de s’occuper du COVID-19 qui décime les populations sud-africaine et algérienne.
S’agissant du lien fait entre la Palestine et le Sahara marocain, celui-ci sonnera désormais comme une chansonnette chez les responsables sud-africain mais également dans la presse algérienne.
Au fait, ils sont complètement paumés ces sud-africains, on leur parle de violence sexuelle contre les femmes et ils nous parlent de violations des Droits de l’Homme, ils ont oublié que le soi-disant chef du polisario est un serial violeur qui est Wanted et ne peut sortir de l’Algérie.
Une chansonnette qui devrait reprendre lors des prochaines réunions onusiennes, le mandat de l’Afrique du Sud au Conseil de Sécurité expirera le 31 décembre 2020.
Au fait, l’Afrique du Sud a oublié que Nelson Mandela n’a jamais voulu reconnaître la pseudo RASD et il fallu attendre que les corrompus de l’ANC arrivent au pouvoir pour que l’Afrique du Sud reconnaisse la pseudo république polisarienne.
Voilà comment le Maroc a été remercié pour avoir soutenu Mandela. N’est-ce pas là un coup de poignard dans le dos ?
Farid Mnebhi.